Carnet ligné: Couchez vos plus belles idées, souvenirs ou simplement tout ce qui vous passe par la tête sur un papier qui laissera glisser votre plume au gré de votre créativité. En effet, ce papier convient parfaitement à l’encre des stylos plumes et des stylos à bille, mais aussi à toutes vos techniques sèches ( crayons de bois, couleurs, fusains et pastels…). Le carnet ligné est l’allié parfait pour garder une trace de vos notes, souvenirs, réflexions et connaissances!
Carnet blanc: Esquissez votre créativité sur un papier légèrement grainé. Parfait pour les techniques sèches mais aussi pour les techniques humides. Ce carnet personnalisable peut aussi servir de livre d’or, aussi bien pour un évènement qui vous tient à cœur que pour les vacanciers et voyageurs passant par votre chambre d’hôtes ou votre gîte.
Le carnet dos cuir reprend les trois grandes étapes d’une reliure traditionnelle:
-Le travail du cuir: Le cuir est sélectionné parmi les peaux les plus souples et fines issues de tanneries françaises, afin qu’aucun défaut n’apparaisse et que l’ouverture du carnet soit la plus ample possible. Le cuir est ensuite découpé puis paré. La parure est une opération qui consiste à amincir la peau sur ses extrémités, à la main et à l’aide d’un couteau à parer, afin de ne pas créer de surépaisseur qui nuirait à la solidité de l’objet.
-Le contre-collage du papier de couverture sur les cartons de reliure: Cette étape nécessite plus de dextérité qu’il n’y paraît. Il s’agit d’être assez rapide pour que la colle ne sèche pas durant le positionnement du carton sur le papier, mais aussi assez de minutie pour ne pas déchirer ou créer des bulles de colle entre les deux matériaux. Le serrage des couvertures se fait ensuite dans une presse à percussion, ce qui va permettre de faire adhérer le papier au carton sur toute la surface de la façon la plus plane possible.
-La dorure à chaud :
La dorure à chaud est mise au point au XVe siècle. En dehors de l’évolution du conditionnement de la feuille d’or au film, les outils et techniques sont restés inchangés . Il s’agit d’utiliser un fer en cuivre ou en bronze chauffé afin de déposer la dorure là où on applique une pression (poussage du fer). Chaque cuir répond différemment à la dorure, ce qui rend ce savoir-faire long à maîtriser. La dorure sur les couvertures reprend le même mode d’emploi que la dorure sur cuir. . . .
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